Marathon Seine-Eure 2010. Mon 10ème marathon et un nouveau record !
MARATHON SEINE-EURE 2010
Dimanche 17 octobre
Et voilà le Jour J de mon 10ème marathon est arrivé !
5h00 Dur dur le réveil…..mais bon, y a pas le choix, il faut se lever.
Je fais ma petite gym du matin pendant que Nadine nous prépare une petite tisane ;)
Puis un œil par la fenêtre pour avoir une idée du temps…..Il fait très très froid mais cool ! pas de brouillard cette année Et je m’habille d’une première couche de vêtement. J’ai décidé de courir avec un collant long très fin et mon short du club par-dessus, et pour le haut, ma brassière et le débardeur du club.
5h30 Nous descendons pour le petit déjeuner, avec ma part de pain sportif en supplément. Comme il n’y a pas de jambon, je vais prendre du fromage à la place., et le reste comme tous les matins.
La veille nous avions demandé s’il était possible de nous servir plus tôt que l’heure normale (7h00), ça n’a pas posé de problème, et toutes les tables étaient prêtes quand nous sommes descendues.
6h00 Fin des préparatifs de mes sacs, un contenant de quoi me doucher et mes vêtements de rechange après le marathon, et un autre dans lequel je mettrai mes couches supplémentaires au départ et le tout dans le grand sac poubelle qui sera véhiculé par des camionnettes jusqu’à l’arrivée.
Je remplis mes deux gourdes de 300ml avec de l’eau, et une mini avec 2 gels dilués (km30 et 35). Cette année je prends mes précautions pour ne pas avoir à remplir une gourde. Les minis gourdes ne sont pas suffisantes pour tenir entre tous les ravitaillements. Je vérifie que j’ai bien ma barre abricot à prendre vers 8h30, mes 2 pastilles de sel pour la mi-course, mes 3 comprimés sporténine (1 par heure), mes pastilles de fructose pour toutes les 30 minutes (zut ! là il m’en manque une ! pas grave vu qu’il y a du sucre dans celle de sporténine ), et j’ajoute ma mini part de gâteau banane (km10 et 20). Voilà pour mes ravitaillements car cette année je ne m’arrête pas du tout
Je me couvre d’une deuxième couche bien chaude et en route !
6h45 Je descends un peu avant Nadine, et là qu’elle n’est pas ma surprise en voyant ma voiture toute givrée ! ! !
Heureusement la couche est fine et elle va vite fondre le temps de chauffer le moteur, parce que je n’avais pas prévu le grattoir . Tout comme hier soir pour rentrer de Rouen, je confie le volant à Nadine, et nous voilà parties pour Val de Reuil, sans brouillard C’est quand même plus rassurant, car nuit + brouillard ce n’est pas le pied pour conduire dans une région inconnue
7h20 Nous arrivons au parking où se situe le départ des navettes, guidées par les panneaux indicateurs et les bénévoles. Un bus vide se met juste en route à notre arrivée, super ! comme ça je pourrai avoir une place devant pour ne pas être trop barbouillée…..Nadine me souhaite bonne course et me pousse dans le bus !
Un coureur s’installe à mes côtés, pour peu de temps, car quelques minutes après arrive Michel et il lui cède gentiment sa place. Je devrais aussi retrouver un Kikourou au dossard 385, mais je ne l’ai encore jamais vu en chair et en os, donc je pense qu’il me reconnaîtra plus facilement ensuite avec mon maillot du CCR92.
Le trajet est assez rapide, et avec Michel nous avons papoté tout le long. Le bus nous dépose à Amfreville sur Iton à environ 500m du départ.
8h20 Tout d’abord je me dirige vers les toilettes pour éviter la file d’attente. Puis direction la tente prévue pour se mettre en tenue à l’abri du froid. Il y a déjà du monde et avec la chaleur humaine il y fait vraiment meilleur qu’à l’extérieur, même s’il fait moins froid que l’an dernier. Je m’installe à côté d’un coureur qui, à la vue de mon maillot devine que je viens de Clamart. Lui est de Châtillon et il a pris la route de bonne heure le matin, quel courage !
Une fois dépouillée de mes couches supplémentaires, j’enfile mes manchettes et mes gants, je mets mon bandana sur la tête, je serre bien ma ceinture porte gourdes et ravitaillement, et je me couvre avec le plastique JI.
Je range mes affaires dans le sac poubelle, je fais un gros nœud et je sors le déposer dans la camionnette……
Gla gla gla ! ça caille ! je n’ai que le haut des épaules à l’air, j’ai bien fait de garder mon buff autour du cou.
8h30 Je retrouve Michel qui m’avait faussé compagnie à la descente du bus. Le temps pour lui de se mettre en tenue et d’aller se soulager une fois de plus, nous partons nous échauffer sur le début du parcours. Michel s’étonne de ne pas voir grand monde s’échauffer, mais je lui dis qu’ils vont plutôt de l’autre côté, vers les champs. Il voulait parcourir le premier kilomètre aller retour, mais nous avons finalement fait un peu moins. De bonnes sensations dans les jambes pendant cet échauffement me donnent confiance pour ce 10ème marathon.
11’30 puls 122/135 et 1,7 km à 8,5 km/h.
Nous regagnons la ligne de départ. Les coureurs se mettent déjà en place. L’animateur annonce les meneurs d’allure, et je découvre qu’il y en a un pour 3h45. C’est super, sauf que je sais que je ne partirai pas avec lui au début, car à chaque marathon, j’ai trouvé que les meneurs partaient plus vite.
Après avoir disparu je ne sais où, Michel revient et nous nous souhaitons une bonne course, il va se mettre entre les meneurs des 3h15/3h30. J’enlève mon plastique anti-froid, et tout comme je m’applique à le plier, pour le jeter ensuite dans les grands bacs écologiques prévus, mes yeux tombent sur un dossard 385……Ah mais quelle surprise ! il apparaît comme par magie le Kikourou 385, sans crier gare ! Nous n’aurons que quelques minutes pour papoter avant le signal du départ. Mais avant nous, ce sont des joélettes qui s’élancent pour ces 42,195 km ! Kikourou va se placer derrière le meneur des 3h30, quant à moi je reste derrière celui des 3h45.
9h00 Le coup de feu est donné ! Et cette année au moins je ne démarre pas avec les orteils gelés Un petit piétinement le temps de passer sur le tapis pour déclencher la puce, et c’est parti, un peu trop lentement…..Je jette au passage mon plastique JI….Les ballons violets des 3h45 ont déjà pris une bonne avance sur moi. Quand j’ai réussi à trouver mon rythme, un peu au-dessus de mon allure prévue, l’écart est bien d’environ 400m, mais pas question de les rattraper de suite. Je dois m’en tenir à mes prévisions jusqu’au semi. Je surveille ma FC et contrôle mes temps au passage de chaque kilomètre. Tout va bien, je suis quelques secondes au-dessus de mes temps, mais comme il y a des passages en faux-plat ça équilibre. Je ne perds pas de vue les ballons violets. J’ai de bons souvenirs du parcours qui me reviennent au fur et à mesure, ça aide bien.
A l’épongeage de Pinterville, nous sommes encouragés par toute une équipe de scouts.
Au km10, je regarde quand même où j’en suis point de vue chrono, je lis 53’44……Je sors mon anti-sèche et cool ! Je devais passer en 53’48 (5’22/km), donc c’est tout bon, je continue comme ça. Je ne regarderai plus le temps total jusqu’à la fin.
Je viendrai coller la suite plus tard ..............
Après vient le passage entre Louviers et Incarville, celui que j’aime le moins, avec ces 2 longues lignes droites, en faux plat pour la première, et au paysage pas terrible. Au cours de cette boucle, je vais courir un moment avec « mon cœur » , un jeune homme encouragé sûrement par sa femme par des « Allez mon cœur, tu lâches pas ! ». Je ne vous dis pas les jaloux qu’il a fait autour de lui . Dans la 2ème ligne droite, je me suis rendue compte que mon écart avec les ballons violets avait diminué. Les 3h45 avaient donc ralenti puisque j’étais toujours à la même allure. Un orchestre et de nombreux supporters nous attendent à la fin de cette ligne droite, juste avant de tourner pour retraverser l’Iton.
Maintenant ça va monter légèrement jusqu’au semi et je vais pouvoir encore diminuer mon écart. Je dépasse un petit groupe de coureurs qui plaisantent à mon passage. Je monte assez facilement, tout en surveillant mes puls, je ne veux pas dépasser les 165. Plus ça monte et plus je me rapproche des ballons violets, et au km20 je suis derrière eux. C’est à partir de là que normalement je dois accélérer à 5’13/km. Je décide donc de rester avec le groupe puisque maintenant son allure correspond à la mienne, même un chouilla plus rapide. Tantôt je serai devant, tantôt derrière. Au passage du semi, il y a un tapis pour la puce, ça tombe bien parce que je ne prends pas de laps à ce km là.
Aux ravitaillements je ne m’arrête pas, mais le groupe me rejoint à chaque fois. Cela doit être un peu épuisant ces accélérations……Lorsque nous passons devant la mairie de St Etienne du Vauvray, je suis au niveau d’un groupe poussant une joélette.
Au km25, je me sens toujours bien. Ensuite nous arrivons dans la longue ligne droite vers les étangs, et là je commence à penser à Nadine qui sera postée un peu avant le km30. J’ai le temps mais je me dis qu’il faudra que je me place sur la gauche du groupe pour qu’elle me voie arriver. Devant ce groupe, il y a une féminine, V1 ou V2, je ne sais pas trop, mais elle semble plus à l’aise que moi, elle papote souvent avec les autres coureurs.
A l’approche du km30, je commence à regarder au loin. J’aperçois un groupe de supporters à une intersection sur la gauche, je me décale donc du groupe mais pas de Nadine…….Bizarre, elle a dû se mettre plus loin que l’an passé……En fait c’était pas la bonne intersection ! Comme j’étais de nouveau enfermée dans le groupe, je me décale à nouveau sur la gauche. Cette fois je vois Nadine, qui visiblement me cherche…Alors j’accélère un peu pour être un peu plus en avant, et là, je vois qu’elle m’a repérée . Je sors ma gourde presque vide pour la lui remettre au passage. Elle m’encourage par des
« Allez Sylvie ! », ce qui interpelle la féminine devant moi car elle porte le même prénom. Elle se retourne et là j’ai comme l’impression qu’elle est surprise de me voir……Ben oui, je n’étais pas avec eux depuis le début alors elle doit se demander d’où je sors En plus de ces encouragements, Nadine me précise qu’il y en a 2 devant moi…..2 quoi ?….et bien 2 féminines de ma catégorie parmi la liste de dossards que je lui avais donnée (au vendredi nous étions 10 V2F pré-inscrites). Donc celle devant moi était soit V1 soit inscrite après…. Mais peu importe, j’avais décidé de m’accrocher aux ballons violets jusqu’au bout.
Km32 à 35, c’est le passage le long de la Seine, avec du vent comme l’an passé et paraît même qu’il était plus fort, mais je ne l’ai pas senti du fait que j’étais dans le groupe et plutôt concentrée à ne pas lâcher prise. Là les gambettes commencent à fatiguer, surtout les quadriceps. Mais déjà depuis un moment le meneur dit que c’est normal si ça fait mal
Nous arrivons au km35, je ne m’arrête pas au ravitaillement, l’année dernière j’avais eu du mal à repartir mais là je sens que mes jambes sont moins fatiguées. Je n’ai pas cette lourdeur habituelle, juste les quadris qui commencent à chauffer. A chaque ravitaillement et aussi aux passages de relais ekiden, nous sommes bien encouragés. Des bénévoles nous préviennent bien à l’avance de quel côté nous devons passer, soit à gauche soit à droite selon la course.
Comme à chaque ravitaillement depuis le km20, le groupe des 3h45 me rejoint, et là je sens que la féminine veut garder la tête.
Depuis le km25, mes laps affichent rarement des temps proches de 5’13/km comme je l’avais prévu, donc je pense que ça va m’être difficile de passer à 5’07 (11,7km/h) à partir du km38…...d’autant plus qu’entre le km37 et 39 il y a un faux plat. Mais j’aime bien cette fin de parcours le long de l’Etang des 2 Amants, nous avons un belle vue avec le soleil en prime ! Et je tiens bon derrière le meneur qui va éclater son dernier ballon violet dans les buissons épineux du virage du km39, juste après le passage sous le chemin de fer. Maintenant je repense à ma séance de veille de course avec Nadine. Je reste encore derrière le meneur jusqu’au passage de la petite butte et ensuite je passe devant. La féminine Sylvie s’est déjà envolée depuis le km37, je n’avais pas la puissance dans les quadris pour la suivre
Le meneur encourage sa troupe de plus en plus car cela devient dur, et les coureurs le félicitent. A présent je suis bien devant le groupe et je motive mes gambettes pour ne pas qu’il me dépasse .
Nous arrivons sur la voie verte….hmm….ça sent la fin ! Quelqu’un nous dit que le km40 est après le virage mais là ça brûle tellement dans mes cuisses que je n’arrive pas à aller plus vite.
Devant la gare, Nadine est de nouveau présente, elle m’encourage tout en courant avec moi vers le km41. Elle me dit que Michel avait bien assuré. Je suis contente pour lui, c’était son premier marathon.
Une arche bleue au loin, mais je sais que ce n’est pas encore là l’arrivée, il faut tourner à droite. Et ensuite 3 fois sur la gauche avant d’apercevoir l’arche d’arrivée. Ce qui fait que ça paraît long, et d’autant plus que je n’ai plus de force dans les cuisses pour vraiment sprinter. Mais le principal c’est que je suis toujours devant les 3h45, et donc je sais que j’ai atteint mon objectif ! Je donne tout dans cette dernière courte ligne droite et je passe sur le tapis en
3h43min52 à mon chrono
Incroyable J’ai réussi plus que mon objectif de 3h45
Mais je dois avoir une sale tête car un jeune homme de la Croix Rouge me demande "ça va Madame ?"... Oui oui ça va, merci Je sens mes gambettes flagada mais ça va.
Un bénévole récupère ma puce,une bénévole me passe une médaille autour du cou et un autre me remet le tee-shirt de la course. Je retrouve Nadine qui me félicite pour ce nouveau record. Nous retournons vers la table du chronométrage pour avoir un ticket avec mon résultat mais pas de bol, la machine ne fonctionne plus ! J’en profite pour prendre une couverture de survie dont je m’enveloppe pour ne pas prendre froid.
Nous nous dirigeons vers le stand collation d’arrivée et là je vois Kikourou 385 qui se repose sur la barrière . Il est arrivé 3’ avant moi.
Quant à Michel, il n’ a pas atteint son objectif de 3h20, mais a tout de même terminé en moins de 3h30, un quart d’heure avant moi. Bravo à tous les deux
12h55 Collation bien méritée, il y a de tout, salé et sucré. Je commence par boire un verre de coca et je mange plusieurs morceaux de banane. Je fais remplir ma gourde d’eau gazeuse, je prends un petit sandwich jambon gruyère et je vais retrouver Nadine qui papote avec la féminine Sylvie et là j’apprends finalement qu’elle est V1 mais qu’elle sera V2 en janvier prochain. Elle m’a bien confirmé que le meneur était parti plus vite au début. Je l’ai félicité pour sa fin de course, elle m’a mis plus d’une minute dans la vue ! Je lui ai souhaité bonne chance pour l’an prochain, le podium en V2 est largement à sa portée
Nous avons papoté encore un peu avec Christian, le Kikourou 385 avant de nous quitter. Je suis partie en trottinant vers la voiture pour aller prendre mon sac à dos de rechange. Quand Nadine me rejoint, elle me dit que Christian est allé récupérer son vestiaire……Oups ! Ben moi, ça m’était sorti de la tête Heureusement que Nadine y pensait !!!
Et c’est reparti pour de la marche vers la piscine où nous pouvons utiliser les douches. Bon, c’est dur là, ça commence à tirer dans les jambes. Et dur pour les quadriceps la descente des escaliers de la piscine. Pas mal de filles dans les vestiaires, surtout des participantes de l’ekiden, mais ce n’est pas la bousculade, par contre les douches sont froides. Mais ça fait du bien quand même.
14h15 A la sortie, je retrouve Nadine en train de bouquiner au soleil. Un appel de Michel qui me fait part de son chrono et qu’il est sur le point de reprendre la route, avant d’avoir trop mal aux jambes….Et oui, il n’a pas de chauffeur.
Nous repassons par le village mais comme les résultats du marathon ne sont pas encore affichés, et que les récompenses ne seront pas données avant 15h, nous allons pique-niquer dans la voiture.
15h30 Nous voici devant les listes des résultats du marathon, Nadine veut être la première à savoir si j’ai fait ou non un podium . Je la laisse chercher, de toute façon sans mes lunettes sur le nez j’ai du mal à lire. Et elle est toute joyeuse de lire que je suis 2ème V2F ! Cette année pas de diplôme délivré sur place, sans doute qu'il y en aura sur le site.
Donc j’ai dû doubler une des deux V2 qu’elle avait notées, mais à part une féminine accompagnée d’un homme à vélo, je n’ai pas souvenir d’en avoir dépassé une autre….
Nous allons donc attendre la remise des récompenses au soleil mais il ne fait pas aussi chaud que l’an dernier à cause du vent frais.
15h45 Enfin c’est le moment de la remise des trophées mais avant nous avons eu le droit aux discours des élus de la communauté d’agglomération.
Au moment du podium masculin au scratch, j’ai réalisé que le vainqueur était celui qui avait remporté le Tour du Pays de Caux auquel j’ai participé cette année.
Quant aux podiums par catégories, ce fut un peu le cafouillage, car toutes les filles restaient sur le podium. Du coup pour que le photographe nous voie toutes, j’ai dû me mettre à genoux…..
Ah ! Aucune pitié pour nos quadriceps !
Et en ce qui concerne les récompenses, et bien cette année c’était la crise ! Pas assez de fleurs, ni médaille, ni trophée pour tout le monde…..Nadine était déçue pour les fleurs, elle en a même fait la remarque au Maire Quant à la prime de 2ème V2, j’ai dû la réclamer à la bénévole qui tenait toutes les enveloppes. Bon, c’était un peu “merdique” cette année de ce point de vue là, alors que pour le reste de l’organisation, il n’y a vraiment rien à redire, tout était parfait
Bravo à tous
16h30 Nous prenons la route du retour avec une pause à Evreux.
Temps | Distance km | Vitesse km/h | FC Moy / Max |
3h43'52 | 44,4 | 11,9 | 161 / 175 |
Pas cool ce Polar pour ce marathon, je n'ai pourtant pas tant zigzaguée
Nous étions 600 inscrits, 498 au départ et 478 classés.
De nombreux inscrits ne sont pas venus à cause des problèmes de carburant….
ésultats officiels : 3h44min17. 289ème sur 478.
21ème féminine sur 50. 2ème V2F sur 7.
Chrono réel : 3h43min55.
1er semi en 1h52’38 (5’19/km), position 366ème
2ème semi en 1h51’39 (5’17/km), position 231ème
Encore un négatif split cette année ! mais 1’ de moins qu’en 2009.
Mon plan de course prévu
20 km à 5’22/km (11,15 km/h) | 1h47’37 |
22,195 km à 5’13 (11,5 km/h) | 1h55’57 |
Marathon | 3h43’24 |
Et si je pouvais accélérer au km38 à 5’07 (11,7 km/h), cela faisait 3h42’45.
Tems prévu | Km | Temps réalisé | FC moyenne |
26’53 | 5 | 26’56 | 154 |
53’48 | 10 | 53’44 | 155 |
1h20’42 | 15 | 1h20’16 | 157 |
1h47’37 | 20 | 1h46’34 | 164 |
2h13’42 | 25 | 2h12’25 | 163 |
2h39’47 | 30 | 2h38’55 | 163 |
3h05’52 | 35 | 3h05’48 | 166 |
3h21’31 | 38 | 3h21’38 | 167 |
3h31’57 | 40 | 3h32’15 | 171 |
3h42’23 | 42 | 3h42’54 | 173 |
3h43’24 | Marathon | 3h43’52 | 174 |
On voit bien que c’est entre le km38 et km40 que j’ai perdu beaucoup de secondes, à cause de mes quadriceps qui avaient du mal dans ce dernier faux-plat, parce que point de vue souffle je me sentais encore bien. D’ailleurs j’étais un peu plus basse en puls cette année.
Alors que faire pour encore repousser cette douleur dans les cuisses ?
En conclusion , 7 minutes de gagner c’est super
Merci à mon entraîneur du CCR92 pour ces entraînements que j’ai bien suivis et qui ont porté leur fruits, quand bien même il pensait que j’allais faire encore mieux
Peut-être pour le prochain …
Merci à ma copine Nadine de m'avoir accompagnée encore une fois pour ce marathon, et merci pour les photos.
Merci aussi aux photographes de la course
www.cb2000.fr et www.normandiecourseapied.com
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